Ville de Rimouski
La ville de Rimouski se trouve à mi-chemin entre Québec et Gaspé, dans la Municipalité régionale de comté de Rimouski-Neigette qui fait partie de la région administrative du Bas-Saint-Laurent. Rimouski s’étend sur un vaste territoire de 255 kilomètres carrés (dont 205 km2 sont des territoires à vocation agricole et 50 km2 sont urbanisés) et regroupe environ 43 mille Rimouskoises et Rimouskois.
Rimouski est le centre administratif de la MRC de Rimouski-Neigette et dans cette ville habitent 80% des résidents de la région.
À l’origine, la ville de Rimouski, portait le nom de la paroisse de Saint-Germain-de-Rimouski, érigée canoniquement en 1829, quoique Rimouski existât depuis 1701.
Saint-Germain-de-Rimouski fut incorporée en 1869 et c’est en 1920 que la ville reçoit son nom actuel, même si ce nom coiffait le bureau de poste de la paroisse depuis 1832.
En 1967, la ville de Rimouski a atteint ses limites actuelles après la fusion de la paroisse de Saint-Germain-de-Rimouski, de la paroisse de Notre-Dame-du-Sacré-Cœur et du village de Nazareth.
Rimouski tient son nom de la rivière qui traverse son territoire et dont on voit la mention en 1688, dans l’acte de l’octroi du fief et seigneurie de Rimouski et Saint-Barnabé. Selon monseigneur Laflèche, le terme remonte à un mot micmac, Animouski. Dans la langue des Saulteux, une tribu Micmac, animous signifie chien et ki ou gi demeure. Alors, il s’agirait d’un lieu où habite un chien…
Une autre version, fréquemment relevée, proposée par l’abbé Tanguay dans ses notes inédites sur la paroisse de Rimouski, et selon laquelle le nom signifie «la terre de l’orignal», n’a jamais été accréditée.
Une autre version, fréquemment relevée, proposée par l’abbé Tanguay dans ses notes inédites sur la paroisse de Rimouski, selon laquelle le vocable signifie «la terre de l’orignal», n’a jamais été accrédité.
Rimouski s’appelait Saint-Germain-de-Rimouski en l’honneur du premier habitant de la localité, M. Germain Lepage qui acquiert, en 1694, la seigneurie de Rimouski concédée à Augustin Rouer de Villeray et de La Cardonnière, six années plus tôt.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région était identifiée comme Saint-Barnabé. Le marquis de Montcalm l’appelle ainsi dans le Journal. Le nom de Saint-Barnabé remonte au début du XVIIe siècle et figure sur une carte de Samuel de Champlain de 1612.
Aujourd’hui, Rimouski est un centre important d’enseignement en océanographie, siège d’une constituante de l’Université du Québec. On y trouve de nombreux commerces et industries. Les Rimouskois rappellent avec fierté que leur ville mérite le surnom de Métropole du Bas-Saint-Laurent. Quinze mille étudiants y viennent chaque année y chercher un enseignement supérieur de qualité.
Rimouski abrite également des sièges sociaux d’organismes et des centres administratifs majeurs. D’ailleurs, la ville de Rimouski est un pôle maritime majeur et la capitale du Québec de la recherche appliquée en sciences de la mer. Un laboratoire naturel d’observation et des centres de recherche s’y trouvent. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la région était identifiée comme Saint-Barnabé. Le marquis de Montcalm l’appelle ainsi dans son journal. Le nom de Saint-Barnabé remonte au début du XVIIe siècle et figure sur une carte de Samuel de Champlain de 1612.
Aujourd’hui, Rimouski est un centre important d’enseignement en océanographie, et le siège de l’Université du Québec à Rimouski (UQR). On y trouve de nombreux commerces et industries. Les Rimouskois rappellent avec fierté que leur ville mérite le surnom de Métropole du Bas-Saint-Laurent. Quinze mille étudiants viennent chaque année y chercher un enseignement supérieur de qualité.
Rimouski abrite également des sièges sociaux d’organismes et des centres administratifs majeurs. D’ailleurs, la ville de Rimouski est un pôle maritime important et la capitale du Québec pour la recherche appliquée en sciences de la mer. Un laboratoire naturel d’observation et des centres de recherche s’y trouvent.
Le port de Rimouski est un port de mer commercial d’importance stratégique. Il abrite des organismes spécialisés dans la recherche appliquée en technologies maritimes – par exemple, « Innovation maritime » et en transport maritime intermodal – «CFoRT». Une station marégraphique est installé à Rimouski.
Côté culture, Rimouski est fier d’être le siège, entre autres, de l’Orchestre symphonique de l’Estuaire – OSE, du Conservatoire de musique du Québec. Plusieurs musées galeries d’art invitent des visiteurs. Rimouski possède trois bibliothèques, deux arénas, une douzaine de centres communautaires.
La ville compte plus de 40 kilomètres de pistes cyclables et environ 15 kilomètres de sentiers pédestres, ainsi que 1500000 mètres carrés de terrains résidentiels.
Rimouski est jumelée à la ville de Westmount de la Nouvelle Écosse.
Entre Rimouski et Montréal, la distance est de 550 kilomètres. Québec se trouve à 310 kilomètres et Rivière-du-Loup à 110 kilomètres. On y accède par les routes 132 et 232 et par l’autoroute 20.
Île Saint-Barnabé
Très effilée, large d’au plus 400 m et longue de 5 km. l’île Saint-Barnabé, de formation schisteuse et frangée d’arêtes rocheuses, s’étire du sud-ouest au nord-est devant la ville de Rimouski, à 3 km du rivage. Cette île inhospitalière, qui fut habitée par quelques personnes et sporadiquement exploitée, est reliée à la terre ferme par des battures de vases parsemées de galets. Ce toponyme très ancien et très stable paraît sur la carte de Champlain de 1612 sous la forme I. St. Bernabe. Le toponyme était peut-être en usage avant 1612 ; cette île avait été remarquée par Jacques Cartier au mois d’août 1535. Variante : Île Barnaby.
Voir aussi :

Quelqu’un peut-il parler de l’incendie très violent survenu dans les années 50 vers le mois de mai, lequel incendie a ravagé une bonne partie de la ville alimenté par des vents violents?