On sait que le Canada émerge dans le sillage de la découverte de l’Amérique et des premières expéditions européennes vers le nouveau continent.
Le 12 octobre 1492, Christophe Colomb découvre le Nouveau Monde qui sera universellement connu comme Amérique, d’après le nom du navigateur italien Amerigo Vespucci, qui publiera en 1504 son récit sur les terres découvertes.
Il existe toutefois d’autres étymologies dont celle selon laquelle le nom viendrait d’une tribu indienne, les Americas, qui habitaient sur le territoire de ce qui est devenu l’Amérique Centrale.
Un grand nombre d’expéditions a lieu à l’époque, mais la France n’entre dans la course à la conquête des terres lointaine que plus tard, parce que les rois de France essayent alors de résoudre des problèmes intérieurs. D’ailleurs, en ce qui concerne la politique étrangère, les yeux des Français sont plutôt tournés vers la Méditerranée.
Les Français commencent à s’interroger sur la validité de cette politique dès 1520, environ et c’est en 1524 que François 1er lance la première expédition française officielle vers l’Amérique du Nord. Il y envoie l’Italien Giovanni da Verrazano qui est engagé par le roi pour commander la première expédition. C’est Verrazano qui dresse la première carte française de la côte américaine.
C’est un début prometteur, mais vient le désastre de Pavie, quand Charles Quint défait François 1er qui se voit donc obligé d’oublier ses plans de conquête de l’Amérique pour presque dix ans.
Puis, durant l’hiver 1534, l’abbé Jean Le Veneur, du Mont-Saint-Michel, présente au roi le navigateur malouin Jacques Cartier et réussit à convaincre le souverain de la nécessité de recommencer les expéditions.
Il était peut-être temps de se réveiller si l’on tient compte que l’explorateur italien Giovanni Caboto, dit Jean Cabot, qui naviguait pour le compte du roi d’Angleterre Henri VII, a atteint les côtes de Terre-Neuve dès 1497. Sans parler des Vikings et des explorateurs des siècles XVII, XVIII, XIX et XX.
Enfin, voici tous nos textes sur les explorateurs et leurs expéditions :
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Voyages en haute mer : À bord des vaisseaux anciens Vaisseaux anciens : Les règles assurant le maintien de la formation en haute mer, de nuit comme de jour et spécialement par temps de brume, faisaient l’objet d’une application d’autant plus stricte qu’une séparation pouvait conduire à un drame. Les instructions relatives aux transmissions étaient … Continuer la lecture
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