Cartes géographiques historiques de la Nouvelle-France

Cartes géographiques historiques de la Nouvelle-France et de l’Amérique du Nord

(Toutes les cartes reproduites sont du domaine public et libres d’utilisation)

Les premiers explorateurs n’avaient pas de cartes. À eux de les tracer. S’ils avaient des compas et savaient se placer en latitude, ils ne pouvaient, faute de chronomètres, calculer leur longitude qu’à l’estime. Aujourd’hui, il ne reste plus de zones blanches sur la carte, même sur le continent antarctique, la Terre Incognita Australia de nos anciens.

  • Carte de l’Amérique dressée par Ortelius, 1570. La côte atlantique du Canada et la vallée du Saint-Laurent y sont bien représentées (cliquez sur la carte pour voir les détails) :
carte géographique historique par ortelius
Carte d’Ortelius.
  •  Carte de l’Amérique du Nord: Nova Et Aucta Orbis Terrae Descriptio Ad Usum Navigantium emendate de Gerard Mercator, dressée en 1569 :
Carte géographique historique de Mercator
Carte de Mercator.
  • Carte de la bourgade de Hochelaga (cliquez sur l’image pour agrandir la carte).
carte d'hochelaga
Carte d’Hochelaga.
  • Carte de la Nouvelle-France dressée par Samuel de Champlain en 1612 (cliquez sur la carte pour voir les détails) :
Carte géographique historique de 1612
Carte de 1612.
  • « Abitation de Qvebecq », le premier bâtiment érigé par Champlain en 1608 à Québec.
cartes historiques : abitation de quebec
Abitation de Québec (habitation).
  • Carte de la ville de Montréal dressée par Chaussegros de Léry (cliquez sur l’image pour voir les détails) :
cartes historiques : carte de montreal
Carte de Montréal.

Voir aussi :

1 réflexion au sujet de “Cartes géographiques historiques de la Nouvelle-France”

  1. Bonjour,
    J’ai une veille carte qui est identifié comme suit:
    Cette copie partielle d’une carte dessinée par Pierre Desceliers en 1550 d’écrits les régions découvertes par Jacque Cartier. ( Le nord se trouvé au bas).
    J’aimerais en savoir plus sur son histoire.
    Pouvez-vous m’aider.
    Merci M. Blouin.

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