Armoiries de la ville de Plessisville

Armoiries de la ville de Plessisville du Centre-du-Québec

Description des armoiries de la ville de Plessisville:

La couronne : La couronne de gueules est l’emblème de la sagesse. Elle est également l’emblème des villes. Elle est chargée d’une croix fleur de lysée de couleur argent, emblème de la foi.

L’écu (bouclier) :

  • Partie du haut à gauche : Le fond est de couleur argent, symbole de l’honneur sans tache. Les fleurs de lys sont l’emblème du Québec et de la France, de couleur bleu azur, symbole de la perfection. Le chevron de gueules symbolise la famille et les traditions; sa couleur rouge symbolise la force et le courage.
  • Partie du haut à droite : Le fond est de couleur pourpre, symbole de la force et du courage. La crosse pastorale ou houlette de pasteur est l’emblème de la juridiction ecclésiastique; sa couleur or symbolise la générosité.
  • Partie du bas: Le fond est de couleur bleue, symbole de la perfection. L’arbre symbolise la force et peut être de l’industrie de l’érable; sa couleur or symbolise la générosité.  L’arbre repose sur une terrasse où ses racines sont ancrées. Cette terrasse est de couleur verte pour symboliser l’espérance et l’avenir.
  • Support : L’écu est supporté par deux branches de feuilles d’érable qui symbolisent le Canada.
  • Listel de parchemin d’or chargé de la devise « Meliora Paramus» signifiant : Nous préparons de meilleures choses.

Armoiries de Plessisville

La description des armoiries a été tirée du site officiel de la ville de Plessisville : ville.plessisville.qc.ca.

Historique de la municipalité de Plessisville

Tout comme la municipalité du village de Plessisville (1855), devenue ville en 1955, la municipalité de paroisse homonyme a été implantée au cœur de cette région, à une douzaine de kilomètres de Princeville, plus à l’ouest et à une distance équivalente de Laurierville, au nord-est. Cependant, le territoire a d’abord été officiellement érigé comme municipalité de canton de Somerset en 1845, aboli deux ans plus tard et rétabli en 1855, appellation reprise de celle d’un canton proclamé en 1804 et dénommé à partir d’un comté anglais. Dès 1857, une nouvelle intervention administrative scindait l’entité en deux municipalités de canton, Somerset-Nord et Somerset-Sud, cette dernière devenant la municipalité de la paroisse de Plessisville en 1946. L’appellation de Somerset figurait également dans celle de la paroisse de Saint-Calixte-de-Somerset, fondée en 1840 et nom du bureau de poste entre 1849 et 1896. Les deux municipalités évoquées sont par ailleurs issues de cette paroisse. On connaît le nom du premier colon, Jean-Baptiste Lafond de Baie-du-Febvre, qui s’était d’abord établi dans Bulstrode, ainsi que sa date d’arrivée sur les lieux, 1835, accompagné de l’un de ses fils. Il amena toute sa famille en 1836. S’étant établi dans le canton de Somerset, il devint paroissien de Saint-Calixte. Bientôt, des gens de Bécancour, de Gentilly et de Saint-Grégoire le rejoignirent pour former le premier noyau de peuplement. Quelques rivières arrosent ce vaste territoire, notamment la Bourbon et la Blanche.

Voir aussi :

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